Juillet n’est pas peu vert
Et ses constantes pluies
Ravivent la lumière,
Font naître des éclairs
Entre deux accalmies.
Les orages d’été
Et leurs foudres nocturnes
Allument l’empyrée,
Répondent au cri navré
Des chouettes taciturnes ;
Et j’attends la chaleur
En goûtant à regret
L’ondée et sa douceur,
L’averse et sa fraîcheur,
Qui ne cessent jamais.