Pendant l’an qui s’achève
Mes yeux se sont ternis ;
Est-ce la mort d’un rêve
Qui m’a ainsi vieillie ?
Comme le temps s’élance
Dans la douceur du soir,
Je respire en silence
Sans haine et sans espoir.
Pendant l’an qui s’achève
Mes yeux se sont ternis ;
Est-ce la mort d’un rêve
Qui m’a ainsi vieillie ?
Comme le temps s’élance
Dans la douceur du soir,
Je respire en silence
Sans haine et sans espoir.