Le temps passe et le chagrin reste
Avec la culpabilité
Et le remords, comme une peste,
Qui ne cesse de me ronger.
Il n’est pas de prix à payer
Mais, jour après jour, la douleur
De savoir que j’ai étouffé
Les battements d’un petit coeur.
Le temps passe et le chagrin reste
Avec la culpabilité
Et le remords, comme une peste,
Qui ne cesse de me ronger.
Il n’est pas de prix à payer
Mais, jour après jour, la douleur
De savoir que j’ai étouffé
Les battements d’un petit coeur.