Les maisons sont superbes et nombreuses élevées ;
Elles se sont dressées, fruits de la foi de l’Homme,
De son or, de sa sueur, de son sang et sont comme
Des monuments d’espoir et de peur érigés.
Nous avons craint le vide, le silence et la mort
– La solitude est rude à l’esprit éprouvé –
Les promesses d’amour, de grâce, d’éternité,
Permettaient à certains de respirer encore ;
Alors les cathédrales, églises et prieurés,
Les peintures splendides et musiques sublimes,
Ont formé une gaine pour camoufler l’abîme
Créée par le défaut d’une divinité.