Je me débats dans un océan de douleur,
La souffrance m’emplit toute et je suis terrassée
Il semble que mon cœur guérit pour se briser
Mais cette fois rien ne vient faire cesser mes pleurs.

Si durant un instant l’espoir en moi renaît
Si, une seconde, j’oublie ma désolation
Ou que je rêve qu’il m’aime, mon exaltation
– Ou mon calme – s’enfuit ne laissant que regrets.

Plus terrible est la peine après le réconfort,
Et je souffrirais moins si mon cœur était mort.