Je souffre depuis que l’amour m’a aveuglée
Mais refuse le secours que m’envoie ma pensée.
Mon cerveau s’époumone, ma raison crie, je crois,
Mais je n’écoute pas, je ne les entends pas ;
Leurs hurlements aphones me tracent la voie à suivre
– J’accumule les erreurs et m’empêche de vivre –