Rompue par ton absence comme par ton silence :
Atroce solitude qui m’a toute brisée,
Pâle fantôme en larmes de ce que j’ai été
Hélas ma vie s’effrite, lente déliquescence,
Affliction sans fond, déchirement cruel,
Eternelle douleur à tout jamais ancrée,
La mort taira ma peine, inconstant Raphaël !