Peut-être qu’à présent, mon corps est infecté,
Que le sang dans mes veines y fait courir la mort ;
Chaque nuit qui s’enfuit, la terreur me dévore
Aux cauchemars de mes cellules délitées.
Un moment de plaisir pour une vie en moins ?
Le doute me tenaille et me glace sans cesse
Des pensées me harcèlent : le désespoir m’oppresse
À l’idée de mon sang pourrissant en mon sein.