Quand de trop de douleur je me trouve accablée,
Muette à force de pleurs, je ressasse en silence
Que seule suis fautive et suis seule à blâmer ;
C’est de ma faute à moi, et à mon inconscience
Si mon cœur à présent est froid et pétrifié.
Les erreurs qui déchirent mon esprit balafré
Et font de mes pensers des tributs de souffrance
À mes remords profonds continûment versés
Ont pour tristes objets les futiles errances
De moments où j’ai cru à la félicité.