Peut-être quand mon cœur sera comblé entier
Par l’amour enflammé d’un homme idolâtré
Je pourrai revenir à ces tendres romans
Qui lorsque je les lis rendent mon cœur brûlant ;
Oui, je souffre immobile et je hurle en silence
Au penser d’un amour alliant la constance
À la flamme effrénée plus qu’on m’a pu offrir,
Mais je crains qu’onc ma peine ne se voie adoucir.