Les champs à ma fenêtre sont d’un vert flamboyant,
Leur éclat est plus pur qu’aucun joyau au monde.
Et les couleurs du ciel, lumineuses et profondes,
Forment un tableau éblouissant, toujours changeant.
Chaque fragment du paysage est enchanteur ;
Les alentours, exquis, se présentent à mes yeux
– Ils ne rencontrent en moi qu’un chagrin silencieux :
Comment voir la beauté quand je n’ai plus de cœur ?