Chaque heure, chaque minute, de chaque jour qui passe
S’enfuit en me laissant toujours un peu plus lasse.
Mes muscles son épuisés, harassés et mon cœur
Crie continuellement sa faiblesse, sa langueur :
Ses battements résonnent dans ma poitrine creuse,
Je le sens qui envoie dans ma gorge fiévreuse
Un sang trop lourd pour lui et ses faibles artères
Qui combattent en vain l’asthénie délétère.