De l’eau coule de mes yeux, ruisselle sur mes joues,
Je me perds dans un fleuve de larmes constitué ;
Je ne sais plus rien faire hormis que de pleurer
Car mon chagrin, hélas ! Domine mon courroux.
L’affliction me laisse toute entière brisée ;
Je voudrais que mes pleurs enfantent un océan
Dans lequel je pourrais m’échapper doucement.
– La douleur laisse en paix les cadavres noyés –